«J’étais complètement déconnectée, je pleurais, je tremblais, moi je ne voulais pas qu’on appelle la police», se souvient la jeune femme, victime de violence conjugale, qui a finalement pris tout son courage en avril 2019 pour porter plainte contre son ex-conjoint, qu’elle avait quitté quelques semaines plus tôt.