
Table éditoriale | Valérie Plante
Si elle est réélue, Valérie Plante devra notamment jongler avec un manque à gagner de 62 millions à la STM.
Le 5 novembre 2017, Valérie Plante est devenue la première femme élue mairesse de Montréal depuis la fondation de la ville, en 1642.
Une campagne électorale menée tambour battant aura permis à son parti, Projet Montréal, de ravir des circonscriptions à son rival défait, Denis Coderre.
L’administration Plante s’est engagée à s’attaquer aux enjeux de mobilité (promettant notamment une « ligne rose » pour le métro de Montréal), de logement social et de développement économique dit « inclusif ».
Valérie Plante a obtenu, le 7 novembre 2021, un deuxième mandat d’affilée aux commandes de la métropole québécoise, après avoir signé une victoire décisive contre Denis Coderre et Balarama Holness.
Si elle est réélue, Valérie Plante devra notamment jongler avec un manque à gagner de 62 millions à la STM.
Cette somme serait consacrée aux aménagements urbains requis pour le projet de transport.
Le nombre de candidats qui «s’identifient comme minorité visible» a bondi par rapport à 2017.
Le parti souhaite construire un parc sur le site du Monument commémoratif irlandais, communément appelé «Black Rock».
La «mairesse de la mobilité» se tourne vers Québec pour espérer combler le manque à gagner de 62 millions à la STM.
Le premier débat télévisé de la campagne a été le théâtre d’échanges acrimonieux.
Les mesures fiscales proposées par le parti de Valérie Plante reçoivent un accueil mitigé des experts.
Valérie Plante et Denis Coderre ont croisé le fer lundi soir devant les gens d’affaires.
Son parti, Projet Montréal, promet d’élargir le programme remboursant la «taxe de bienvenue».
Le parti souhaite plus d’ascenseurs dans le métro, des logements plus accessibles et un service de livraison adapté.