En photos | Le boulevard de l’Ange-Gardien, à L’Assomption

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Malgré la morosité des dernières années, les commerces du secteur ont presque tous survécu Adil Boukind Le Devoir

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Le bistro L’ange cornu est pourvu d’une immense terrasse, stratégiquement envahie par la verdure Adil Boukind Le Devoir

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Le collège de l’Assomption, dont les nombreux étudiants participent au succès des commerces et restaurants en journée Adil Boukind Le Devoir

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Le collège de l’Assomption, dont les nombreux étudiants participent au succès des commerces et restaurants en journée Adil Boukind Le Devoir

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L’enseigne du Portage, le plus vieux bar de la ville. Pourquoi «bars» au pluriel? Richard Falcon, un habitué, a une explication: «Jusque dans les années 1970, il y avait un mur ici au milieu. De ce côté-ci, c’était la taverne, les femmes ne pouvaient pas entrer ici. De l’autre côté, elles pouvaient y aller.» Adil Boukind Le Devoir

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Les dernières années ont été difficiles, mais la grande solidarité entre les commerçants de l’artère a été un baume pour plusieurs Adil Boukind Le Devoir

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Richard Falcon et Jean-Pierre Marion, des habitués du Portage Adil Boukind Le Devoir

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Le théâtre Hector-Charland a donné un nouveau souffle au quartier dès son inauguration, en 1999. La pandémie a toutefois fait mal: cet été, la salle est remplie à environ 80% du niveau de 2019, estime son directeur, Claude de Grandpré. Adil Boukind Le Devoir

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La terrasse de L’ange cornu Adil Boukind Le Devoir