Une étude publiée dans la revue américaine Respiratory and Critical Care Medicine conclut que les femmes vivant dans des fermes où on fait usage de pesticides affichent un taux plus élevé d'asthme que les autres.

Cette étude a été réalisée dans le cadre d'un programme de santé publique qui portait sur l'état de santé des habitants de 25 814 fermes. Ce sont les formes d'asthme atypiques que l'étude associe aux épandages de pesticides. Plus précisément, sept des seize insecticides étudiés, deux des onze herbicides et un des quatre fongicides ont été associés à l'asthme atypique.