
L’école de votre enfant est-elle ventilée?
Près de la moitié des immeubles scolaires primaires et secondaires publics n’ont pas de ventilation mécanique.
L’UQAM, l’Université Concordia et l’Université Laval ont déjà pris des engagements de désinvestissement en ce sens.
Le ministre Roberge a annoncé le déploiement de ces programmes dans toutes les écoles secondaires publiques dès 2023.
Ottawa et les Premières Nations s’entendent pour un investissement «substantiel» et davantage d’autonomie aux écoles.
En pleine pénurie de main-d’oeuvre, Québec cherche à valoriser le personnel scolaire.
Un premier guide pédagogique aide les enseignants à aborder ce sujet délicat.
Le Centre de services scolaire de Montréal multiplie les «projets particuliers» dans les écoles autrefois délaissées.
Les enfants ne sont pas seulement des êtres vulnérables à protéger, ils ont aussi des choses à dire.
L’Association s’inquiète des répercussions que ces examens auraient sur les jeunes qui sont scolarisés à la maison.
Les fermetures de classe ont affecté principalement les élèves les plus vulnérables, conclut une étude.
L’impatience gagne les directeurs et directrices, qui ont soif de reconnaissance après deux ans de pandémie.
La publication d’une élève fait état de propos dégradants tenus par une directrice adjointe.
Le milieu de la recherche scientifique au Québec a perdu un de ses piliers le 8 mai dernier.
La chasse aux manuels scolaires et universitaires à proscrire s’étend. À qui la faute?
Le cabinet du ministre Roberge confirme que les conseils d’établissement peuvent se réunir en présence ou à distance.
Un mouvement propose de financer à 100% les écoles privées et de les obliger à accueillir les élèves de leur quartier.
Grâce aux progrès en linguistique et en didactique, les chercheurs savent désormais comment l'enseigner efficacement.
Le ministre Jean-François Roberge souhaite favoriser «l’accessibilité universelle».
Québec autorise l’enseignement à distance à 3500 élèves qui «n’entrent pas dans le moule» de l’école en présence.
La « catho-laïcité » du calendrier scolaire donne des maux de tête aux gestionnaires.
L’établissement, qui était associé à l’Université Laurentienne jusqu’à l’an dernier, veut devenir autonome.