
Taire les cas de COVID pour attirer des enseignants suppléants
La pandémie aggrave la pénurie d’enseignants, au point où des écoles doivent fermer leurs portes.
Depuis le début de la pandémie, les enseignants ont été 43% plus nombreux à donner des classes en plein air.
La logistique entourant les cas de variants de la COVID-19 aggrave la pénurie de personnel.
Le budget consacré à l’initiative par le gouvernement Legault sera doublé.
Les jeunes francophones sont de plus en plus nombreux au Québec à choisir l’anglais pour poursuivre leurs études.
Une série d’établissements ont annulé les cours, même à distance, pour respecter les lignes de piquetage.
Un rapport d’étudiants aux cycles supérieurs de l’Université Laval sonne l’alarme au sujet de la fragilité du français.
La Société royale du Canada plaide pour une plus grande indépendance quant à cette clientèle «volatile».
Au Québec, l’éducation à la citoyenneté est portée par de nombreux organismes jeunesse.
Les experts de l’INSPQ estiment qu’il faudra intervenir comme si tous les cas positifs leur étaient attribuables.
La mention des liens entre Pierre Vallières et le FLQ dans la conférence portant sur le racisme a été critiquée.
Les services payants favoriseraient l’admission d’étudiants fortunés au détriment de la diversité québécoise.
Les médecins résidents réclament un moratoire sur un examen pratique offert à distance en raison de la pandémie.
Le processus d’admission dans les programmes universitaires contingentés provoque de l’anxiété chez les étudiants.
La Santé publique dit vacciner en priorité le personnel qui est en «contact direct» avec les enfants.
La question de l’extension de la loi 101 au cégep ressurgit dans le débat public.
L’insertion professionnelle des diplômés francophones devient de plus en plus un enjeu de premier plan.
Trois boursières du Cambodge et du Maroc se penchent sur la problématique de genre dans leur pays.
Les données dévoilent que c’est le système d’éducation qui assurera l’avenir de la langue de Molière.
Le personnel enseignant du cégep et de l’université a dû s’adapter à des transformations rapides et inédites.
«Nous voulons des conditions de travail qui ne nous rendent plus malades», explique la présidente de l’APPM.