En photos | L’autosuffisance alimentaire de Singapour dans l’oeil de Valérian Mazataud
Singapour rêve d’autonomie alimentaire. Cet objectif, peut-être impossible, stimule néanmoins la création d’idées nouvelles pour nourrir le monde.
Ce reportage a été financé grâce au soutien du fonds de journalisme international Transat-Le Devoir

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Les hawkers centers, comme ici le Golden Mile Food Center, sont assurément les endroits les plus typiques de Singapour. On y trouve des dizaines d’étals d’excellente nourriture bon marché typique de toute l’Asie. Valérian Mazataud Le Devoir

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Le chef Chris Jones et le sous-chef Chong Jun Xiang disposent des croquettes panées de poulet de culture sur des gaufres lors d’un dîner de dégustation immersif à l’hôtel Mariott de Singapour, organisé par l’entreprise de viande de culture Good Meat. En décembre 2020, Singapour est devenue le premier pays à autoriser la vente de viande de culture. Valérian Mazataud Le Devoir

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Des plants de bok choy dans une serre de neuf mètres de hauteur de la ferme verticale de l’entreprise Sky Greens. Valérian Mazataud Le Devoir

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Un ouvrier de Sky Greens, une ferme verticale dans le nord de Singapour, récolte des bok choys. « En utilisant notre technologie, Singapour pourrait être autosuffisante en légumes », soutient Roshe Wong Kok Leong, le chef du développement de l’entreprise. Valérian Mazataud Le Devoir

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Benjamin Ang avec son chien Natsuki. Cet horticulteur passionné s’est donné pour mission de rehausser le niveau de compétences pour les cultures en serre à Singapour. Valérian Mazataud Le Devoir

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Les carottes et les poulets de Bresse, deux aliments très exotiques du point de vue de Singapour, que Benjamin Ang cultive avec amour et en s’appuyant sur ses connaissances scientifiques et de nombreuses expériences. Valérian Mazataud Le Devoir

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La plateforme de pisciculture d’Aquaculture Centre of Excellence veut à terme devenir une véritable arche de Noé. La ferme est presque autosuffisante : elle doit seulement acheter de la nourriture pour les poissons. Valérian Mazataud Le Devoir

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Un hublot permet de contrôler l’état de santé des bars d’un bassin de la plateforme de pisciculture d’Aquaculture Centre of Excellence. L’entreprise espère produire cette année 150 tonnes de poissons. Valérian Mazataud Le Devoir

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Sur la barge de Singapore Aquaculture Technologies, un employé contrôle des alevins de bars. Élever des poissons en cuve permet de les soustraire aux aléas de l’environnement, comme les floraisons d’algues toxiques. Valérian Mazataud Le Devoir

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L’aquaculture n’est pas un phénomène nouveau à Singapour. Sur de petits radeaux rustiques, faits de tôle, de madriers et de barils, des mytiliculteurs produisent des moules de manière traditionnelle. Valérian Mazataud Le Devoir