La pandémie au Repos Saint-François d’Assise
La pandémie de coronavirus, meurtrière, a forcé la société à changer ses rites funéraires et les cimetières, à s'adapter. Au Repos Saint-François d’Assise, à Montréal, les employés doivent jongler entre l'afflux de défunts et l'accompagnement des familles.

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Les dépouilles des personnes décédées de la COVID-19 sont entreposées en attente de leur crémation. Renaud Philippe Le Devoir

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Avec la distanciation physique qu’exige la pandémie, les rites funéraires devront être réinventés, estiment les membres de la famille Durand, venus pique-niquer près de la pierre tombale de leur mère. Renaud Philippe Le Devoir

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Les transporteurs funéraires sont aussi au front, récupérant quotidiennement des dizaines de corps. Renaud Philippe Le Devoir

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La moitié des dépouilles transportées sont celles de personnes ayant succombé à la COVID-19. Renaud Philippe Le Devoir

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Jusqu’à 600 cercueils peuvent être entreposés dans les trois salles réfrigérées du cimetière. Renaud Philippe Le Devoir

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Benoit Salvail, graveur de pierre tombale, s’attend à être très sollicité dans les prochaines semaines en raison des nombreux décès liés à la pandémie. Renaud Philippe Le Devoir