
Les travailleuses domestiques d’hier à aujourd’hui
«La majorité de ma clientèle vit très bien, mais ne me fait pas de cadeau. La précarité est au centre de mon travail.»
De nos jours, les professionnels surdiplomés côtoient les employés de manufactures semblant dater d’une autre époque et les livreurs pressés de repas à domicile. Le Devoir dresse, avec la série Les nouveaux prolétaires, le portrait d’un nouveau monde du travail.
«La majorité de ma clientèle vit très bien, mais ne me fait pas de cadeau. La précarité est au centre de mon travail.»
Bon nombre de coiffeuses québécoises souhaiteraient que leur métier soit plus valorisé et moins précaire.
Le précarien subit la précarité d’emploi, tout en se retrouvant dans des métiers très différents.
Les livreurs de colis ne roulent pas toujours sur l’or.
La souffrance humaine s’infiltre dans l’industrie de la mort animale.
Le téléservice à la clientèle comme source de revenus et de déprime.
La production pénible des vêtements n’attire pas la main-d'oeuvre québécoise.
Qui s’instruit s’enrichit? Oui et non, et avec cinquante nuances de précarité.