
Raïf Badawi libéré après 10 ans d’emprisonnement
Le blogueur était incarcéré pour avoir critiqué les autorités religieuses de l’Arabie saoudite.
Emprisonné en 2012 en Arabie saoudite puis condamné en 2014 à 10 ans de prison pour avoir critiqué les autorités religieuses du pays, Raïf Badawi a finalement été libéré, a indiqué Amnistie internationale le 11 mars 2022.
En plus de sa peine de prison, le blogueur saoudien avait été condamné à 1000 coups de fouet et à une amende de 335 000 $, en plus de faire face à une interdiction de voyager pendant dix ans et à une interdiction de travailler dans les médias. Il a reçu 50 coups de fouet en janvier 2015 lors d’une flagellation publique.
Sa femme, Ensaf Haidar, qui réside à Sherbrooke avec leurs trois enfants, l’a soutenu pendant toute la durée de son emprisonnement, portant sa cause devant les autorités politiques et participant à de nombreuses manifestations.
L’emprisonnement de Raïf Badawi a été vivement condamné sur la scène internationale. De nombreuses organisations gouvernementales ainsi que des groupes de défense ont exigé sa libération immédiate.
Consultez tous nos textes sur Raïf Badawi.
Le blogueur était incarcéré pour avoir critiqué les autorités religieuses de l’Arabie saoudite.
Il a été emprisonné en 2012 et condamné en 2014 à dix ans de prison.
«J’aime mieux quelqu’un qui se lève debout avec un français incertain que quelqu’un qui reste assis avec un bon...
Le blogueur est incarcéré en Arabie Saoudite depuis 2012 alors que sa famille s’est réfugiée dans la ville de l’Estrie.
Le chef bloquiste a déclaré que sa candidate avait «cheminé» dans sa réflexion.
À quelques mois de sa libération, rien n’a été fait, malgré les demandes qui ont été répétées et votées à l’unanimité.
L’an prochain, je ne tiens pas à célébrer les dix ans de détention de Raïf Badawi.
Il a été condamné à 10 ans de prison et 1000 coups de fouet en 2012 pour «apostasie» et «insulte à l’islam».
La conjointe de Raïf Badawi a décidé de faire son entrée dans la vie politique.
Son épouse, Ensaf Haidar, affirme qu’il a été attaqué par un prisonnier membre d’un groupe terroriste.