
Séoul et Pyongyang amorcent un rapprochement en rétablissant leurs communications
Cette décision coïncide avec l’anniversaire de la fin de la Guerre de Corée.
La menace d’une guerre nucléaire s’est avivée à l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis, et le ton belliqueux de sa joute verbale avec le président de la Corée du Nord, Kim Jong-un.
Ciblé par des sanctions internationales après de nouveaux envois de missiles, en 2017, Pyongyang s'est montré plus ouvert à un apaisement des tensions avec Washington et dans la péninsule coréenne.
Après dix ans de pouvoir, le régime de Kim Jong-un vacillera-t-il?
Chose certaine, début 2022, alors que les yeux de la communauté internationale sont tournés vers la guerre en Ukraine, Pyongyang en a profité pour reprendre les tirs de missiles, brièvement interrompus durant les Jeux olympiques d'hiver de Pékin.
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Cette décision coïncide avec l’anniversaire de la fin de la Guerre de Corée.
Selon Séoul, les dirigeants des deux pays ont échangé des lettres personnelles depuis avril.
La Corée du Nord a semblé écarter mardi la perspective d’une reprise des négociations avec les États-Unis.
Joe Biden veut utiliser «la diplomatie tout autant qu’une dissuasion sévère» pour contenir les ambitions nucléaires de...
Il s’agirait du «plus gros missile mobile à combustion liquide jamais vu à ce jour».
L’«urgence maximale» est déclarée et la ville de Kaesong confinée.
Le 25 juin 1950, les forces nord-coréennes envahissaient le sud pour tenter de réunifier de force la péninsule.
Une nouvelle inattendue après plusieurs jours de montée des tensions sur la péninsule.
Des couronnes de fleurs ont été déposées et le chant d’un seul clairon a résonné près du Parlement.