
10 ans sous la férule de Kim Jong-un
Le régime pourrait subir une tempête parfaite mêlant sanctions, pandémie et problèmes économiques.
La menace d’une guerre nucléaire s’est avivée à l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis, et le ton belliqueux de sa joute verbale avec le président de la Corée du Nord, Kim Jong-un.
Ciblé par des sanctions internationales après de nouveaux envois de missiles, en 2017, Pyongyang s'est montré plus ouvert à un apaisement des tensions avec Washington et dans la péninsule coréenne.
Après dix ans de pouvoir, le régime de Kim Jong-un vacillera-t-il?
Chose certaine, début 2022, alors que les yeux de la communauté internationale sont tournés vers la guerre en Ukraine, Pyongyang en a profité pour reprendre les tirs de missiles, brièvement interrompus durant les Jeux olympiques d'hiver de Pékin.
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Le régime pourrait subir une tempête parfaite mêlant sanctions, pandémie et problèmes économiques.
Le pays a imposé des sanctions contre 122 responsables «pour leur implication dans des violations des droits humains».
La Corée du Nord a affirmé avoir procédé mardi à un tir de missile balistique à partir d’un sous-marin.
Réunis pour analyser les récents tirs nord-coréens, les membres n’ont pas réussi à s’entendre sur une déclaration.
La réunion d’urgence devait se tenir jeudi, mais elle a été reportée suite à une demande de la Chine et de la Russie.
Elle a été promue membre de la Commission des affaires de l’État, le plus haut poste qu’elle ait jamais obtenu.
Pyongyang cherche à «multiplier par mille» ses capacités de défense.
Il s’agit du troisième tir effectué par Pyongyang ce mois-ci.
Séoul et Pyongyang sont toujours techniquement en guerre.
L’Agence internationale de l’énergie atomique se dit préoccupée par la situation.