
Séoul et Washington lancent des missiles balistiques en réponse au test nord-coréen
Pyongyang a redoublé d’efforts cette année pour améliorer son programme d’armement, malgré des sanctions économiques.
La menace d’une guerre nucléaire s’est avivée à l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis, et le ton belliqueux de sa joute verbale avec le président de la Corée du Nord, Kim Jong-un.
Ciblé par des sanctions internationales après de nouveaux envois de missiles, en 2017, Pyongyang s'est montré plus ouvert à un apaisement des tensions avec Washington et dans la péninsule coréenne.
Après dix ans de pouvoir, le régime de Kim Jong-un vacillera-t-il?
Chose certaine, début 2022, alors que les yeux de la communauté internationale sont tournés vers la guerre en Ukraine, Pyongyang en a profité pour reprendre les tirs de missiles, brièvement interrompus durant les Jeux olympiques d'hiver de Pékin.
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Pyongyang a redoublé d’efforts cette année pour améliorer son programme d’armement, malgré des sanctions économiques.
« À l’heure actuelle, nous ne sommes pas en mesure de faire une évaluation correcte de la situation sur le terrain ».
La Corée du Nord est sur le seuil d’une crise sanitaire majeure.
Le pays a détecté son tout premier cas depuis le début de la pandémie, selon les médias d’État jeudi.
Le dirigeant nord-coréen en a fait l’annonce lors d’un défilé militaire à Pyongyang.
Il s’agirait d’une tentative d’amélioration de l’efficacité des «armes nucléaires» tactiques du pays.
Le pays a tiré un missile balistique, le huitième cette année, après un mois d’accalmie pendant les JO de Pékin.
Chronique Il y a, dans ce mystérieux pays, des êtres humains sensibles, amoureux et patriotes.
Les États-Unis ont annoncé la semaine dernière de nouvelles sanctions, que Pyongyang a qualifiées de «provocation».
Le régime pourrait subir une tempête parfaite mêlant sanctions, pandémie et problèmes économiques.