Le parcours d'un combattant

Avec son épouse, Chantal Renaud, lors du congrès national du PQ, en 2005
Photo: Clément Allard La Presse canadienne Avec son épouse, Chantal Renaud, lors du congrès national du PQ, en 2005

1937 Naissance à Saint-Jacques-de-Montcalm, dans Lanaudière.

1964 Nommé conseiller dans le cabinet du ministre libéral des Ressources naturelles, René Lévesque. Il est admis au Barreau l’année suivante.

1976 Élu dans la circonscription de Fabre, Bernard Landry est nommé ministre d’État au Développement économique dans le premier gouvernement Lévesque.

Photo: Louise Lemieux Le Devoir La carrière politique de Bernard Landry s’est étendue de 1976 à 2005

1985 Se présente à la succession de René Lévesque avant de retirer sa candidature, faute d’appuis. Il est défait aux élections générales dans Laval-des-Rapides la même année.

1994 Élu député de Verchères, Bernard Landry est nommé vice-premier ministre et ministre des Affaires internationales, de l’Immigration et des Communautés culturelles par Jacques Parizeau.

Photo: André Pichette La Presse canadienne Avec le premier ministre Lucien Bouchard, en mars 2000 

1996 Obtient la direction du ministère des Finances à l’arrivée de Lucien Bouchard à Québec. Le « déficit zéro » est atteint trois ans plus tard.

Photo: Didier Debusschere La Presse canadienne Lors de la lecture du Discours du Trône, le 22 mars 2001

2001 Il succède au premier ministre Lucien Bouchard à la suite du désistement de Pauline Marois, ce qui permet d’éviter une course à la chefferie.

Photo: Jacques Boissinot La Presse canadienne Avec le grand chef Ted Moses

2003 Bernard Landry perd le pouvoir aux élections générales remportées par les libéraux de Jean Charest, qui récoltent 45,9 % des voix contre 33,2 % pour le Parti québécois.

2005 Démissionne au Congrès national du Parti québécois en dépit d’un vote de confiance de 76,2 %.

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