
Pour le PQ, on aménage la «minorisation» des francophones avec l’immigration temporaire
Le nombre de résidents temporaires au Québec a explosé dans la dernière année, selon des chiffres publiés mercredi.
Les élections générales du 15 novembre 1976 resteront longtemps gravées dans la mémoire des Québécois. C’est à ce moment que le Parti québécois (PQ), né en 1968 et mené par René Lévesque, prend le pouvoir pour la toute première fois.
Depuis, le PQ a tenu deux référendums sur la souveraineté du Québec: en 1980 et en 1995.
Le parti, qui prône l’indépendance du Québec et la protection de la langue française, a été au pouvoir de 1976 à 1985, puis de 1994 à 2003, et entre 2012 et 2014.
Depuis juin 2021, le Parti québécois compte sept députés à l'Assemblée nationale du Québec. Son chef est Paul St-Pierre Plamondon depuis le 9 octobre 2020.
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Le nombre de résidents temporaires au Québec a explosé dans la dernière année, selon des chiffres publiés mercredi.
Le libellé de la motion du Parti québécois exprime aussi la solidarité de l’Assemblée envers le peuple juif.
Nous sommes loin de tout savoir sur les activités de la GRC au temps où le ministre péquiste était indicateur.
La divulgation réclamée par les élus de l’Assemblée nationale pourrait susciter des poursuites.
Le guide du ministère de l’Éducation recommande aux écoles — contrairement au ministre — d’avoir des toilettes mixtes.
Les partis politiques recroisent le fer dans le contexte d’une élection partielle chaudement disputée.
Elle mettra son taux directeur à jour mercredi et plusieurs politiciens craignent les effets d’une nouvelle hausse.
Le chef intérimaire, Marc Tanguay, a assuré revenir au travail avec une «énergie renouvelée».
Le premier ministre a dressé une longue liste des mesures prises par la CAQ depuis son arrivée au pouvoir en 2018.
Chronique La partielle de Jean-Talon sera un référendum sur la crédibilité de la parole caquiste.