Le bulletin de l’opposition
Chronique La palme du meilleur parlementaire de l’opposition revient à Gabriel Nadeau-Dubois.
Le plus ancien parti politique de la province est né en même temps que le Canada, en 1867.
Entre 2013 et 2018, le Parti libéral du Québec est dirigé par Philippe Couillard, élu premier ministre en 2014. Il démissionne après sa défaite aux élections de 2018.
Réélue cette année-là dans la circonscription de Saint-Henri–Sainte-Anne, Dominique Anglade devient la première femme à la tête du parti.
Entre 1998 et 2012, le PLQ a été dirigé par Jean Charest, qui fut premier ministre durant neuf ans. Après les manifestations étudiantes du Printemps érable, le règne des libéraux a été interrompu pendant deux ans, entre 2012 et 2014, et a été marqué par les allégations de corruption et de collusion pendant plusieurs années.
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Chronique La palme du meilleur parlementaire de l’opposition revient à Gabriel Nadeau-Dubois.
Les libéraux tenteront de regagner cette circonscription de l’Estrie avec la candidature de Claude Vadeboncoeur.
Chronique Les efforts pathétiques du PLQ pour ramener les anglophones au bercail.
Éditorial Les libéraux mettent à mal leur longue tradition de défense des pouvoirs du Québec.
Le premier ministre a fait sa déclaration deux jours après que le PLQ a promis de réduire le fardeau fiscal.
Le rôle de chef de l’opposition est ingrat, surtout lorsque le taux de satisfaction du gouvernement frôle les 60%.
La proposition se retrouve dans la plateforme électorale du PLQ, qui a été présentée aux membres samedi après-midi.
Le parti souhaite néanmoins démanteler la «loi 96» advenant une victoire aux élections cet automne.
Le premier ministre conclut une session dont la fin a été dominée par le retour du débat souveraineté-fédéralisme.
Le PQ, qui subit coup dur après coup dur, est plus affaibli que jamais. Le PLQ ne va guère mieux.