Libre opinion
Les idées dangereuses
Faut-il laisser une liberté d’accès aux plateformes aux futurs Trump?
Il devient de plus en plus difficile de vivre en français à Montréal.
L’université est un service public, un bien public.
Dans chaque communauté humaine il y a des mots qui ont une histoire chargée de blessures collectives.
L’important est que les limites soient déterminées collectivement, à l’issue d’une délibération légitime.
On voit bien que les institutions laissent tomber les profs comme de vieilles chaussettes.
La peur d’être puni nuit considérablement à la recherche de contacts.
Va-t-on dresser une liste de mots interdits pour chaque groupe et sous-groupe de notre société?
La censure d’aujourd’hui n’est pas qu’ostentatoire; elle est aussi latente et insidieuse.
Le rôle d’un professeur n’est pas de conforter les étudiants dans leurs présomptions.
Le volontarisme des décideurs publics ne suffit plus.
Nous sommes censés déployer nos ailes, mais en lieu et place, on se les fait couper.
Nous nous retrouvons seuls dans nos chambres, les yeux rivés sur nos écrans.
Il faut travailler avec les personnes et les communautés qui subissent des pratiques discriminatoires.
Nous lançons un message d’espoir, celui de l’amitié entre Autochtones et Québécois.
Les avis de la Santé publique devraient être accessibles.
Reconnaissons la profondeur des préjugés, des habitudes, des pratiques souvent inconscientes.
Plusieurs de nos collègues, à bout de souffle, choisissent de quitter leur emploi.
Les progrès que nous avons faits nous imposent des responsabilités accrues.
Pourquoi ne pas rebaptiser Asbestos du nom de Macklin?
Mettre l’accent sur des activités à peu d’impact n’aide pas à améliorer la connaissance.