L’éducation au Québec
Enfin le système d’éducation commence à bouger pour le mieux. Il est temps que des personnes se réveillent et constatent que l’on ne s’instruit pas avec de belles décorations et de beaux jeux, mais en apprenant à lire, à écrire, à calculer, à dessiner, à parler d’autres langues, etc.
Je suis entièrement d’accord avec l’idée d’améliorer notre système éducatif en misant sur la qualité des enseignants, des divers spécialistes oeuvrant auprès de nos élèves, sur du personnel compétent dans le domaine de l’éducation. C’est là qu’il faut mettre une grande partie du financement. Quand une école a des éducateurs qui sont soutenus par les directions dans leurs projets, les résultats ne peuvent qu’être encourageants. Il est temps de délaisser le « fla-fla » et de passer aux choses sérieuses. Pourquoi vouloir tout chambarder quand une recette gagnante existe depuis tellement longtemps ? Je ne dis pas qu’il ne faut pas apporter certaines améliorations, mais trop, c’est comme pas assez. En plus, au Québec, tous les jeunes ont la chance de se faire instruire, alors que c’est loin d’être le cas des jeunes de tous les pays. Je suggère de faire la promotion de cette situation afin que les parents ainsi que toute la société réalisent la chance que nous avons ici. Trop souvent, nous oublions cette chance.
En conclusion, il est plus que temps de réaliser que la principale cause du décrochage scolaire est le manque de motivation, non seulement des élèves, mais aussi des enseignants, provoqué par le manque de matériel didactique récent (livres, matériel de laboratoires, etc.) et non d’accessoires qui n’ont rien pour stimuler l’intelligence et l’apprentissage. La seconde cause est le manque de stimulation et d’implication de la part des parents. Beaucoup de parents se fient au système scolaire pour que leurs enfants apprennent, que ce soit au privé ou au public.