Lettre - La pérennité de l'amour

J'ai bien aimé la récente chronique de Josée Blanchette, «L'amour pas net» (8 octobre). Celle-ci indiquait entre autres que le sociologue Jean-Claude Kaufmann avait constaté dans son livre Sex@mour que nous en étions à l'équation suivante: le sexe d'abord, les sentiments après. J'ai pensé alors à l'extraordinaire chanson de Richard Desjardins Tu m'aimes-tu? dans laquelle c'est le gars qui est décontenancé (et pas à peu près...) parce que ç'a été le sexe d'abord...

Plus loin, quand Mme Blanchette cite le livre d'Éliette Abécassis Une affaire conjugale, où il serait dit que l'essence de l'amour et le garant de sa pérennité était le mensonge, c'était à une autre chanson que j'ai songé, celle de Léo Ferré Avec le temps quand celui-ci parle du «fard d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit»...

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