Idées
Il reste encore du chemin à faire pour éliminer la transphobie
Pour que le Québec devienne un lieu inclusif, affirmatif et sécuritaire, la réforme Jolin-Barette doit aller plus loin.
Mais il faut se presser: la guerre produit des désastres irrémédiables en Ukraine en menaçant l’avenir du monde.
Il nous a lancé un défi, accomplir notre destin, que son buste placé devant l’Assemblée nationale nous invite à relever.
Le premier ministre François Legault a renié l’indépendance, mais celle-ci reviendra le hanter.
Critiquable comme toute autre loi, la loi 21, qui divise le pays, ne mérite ni tant d’honneur ni tant d’indignité.
Pour vivre cette expérience d’une façon cohérente avec nos valeurs et capacités, une discussion individuelle s’impose.
Il y a 50 ans, Raymond Parent, alors secrétaire général de la CSN la sauvait, littéralement!
Les inégalités sociales font des ravages qui ne sont pas assez nommés comme tels dans le débat actuel.
Nous nous tenons devant un précipice qui risque de nous plonger davantage dans la division.
Les deux partagent une incapacité à penser à long terme l’avenir du Québec, sauf en ce qui concerne la langue.
La destruction d’un bien classé représente la plus haute atteinte à notre patrimoine national.
Il s’agit du moyen le plus efficace de préserver ce trésor pour les générations actuelles et futures.
Aucune mesure n’est plus structurante que celles encourageant la qualité et la qualification du personnel éducateur.
Le Québec est mûr pour une réflexion de fond sur les dynamiques propres au capital immobilier et au marché locatif.
Elle affectera l’alliance thérapeutique, le sentiment de compétence auprès de la clientèle et le jugement clinique.
Doper des productions à l’électricité au rabais ne constitue pas une pratique durable.
Si les protestations contre les codes vestimentaires resurgissent, c’est qu’ils sont bel et bien injustes et humiliants.
Profitable pour les médecins sur le plan fiscal, l’incorporation se fait au détriment du reste de la population.
L’argument éculé et simpliste de l’âge ne peut servir à justifier son opposition à la loi 96.
Nous vivons dans l’urgence de déterminer à qui nous pourrons faire confiance pour qu’ils continuent de s’épanouir.
Il est possible de reconnaître les menaces guettant les francophones sans brimer les droits de la minorité anglophone.