Il n'y a pas qu'à Montréal que le français perd du terrain.

Il suffit de se rendre en Outaouais non seulement pour se rendre compte que l'anglais s'infiltre allègrement dans l'espace public (garage sale, house for sale, etc.), mais aussi pour comprendre que cela ne semble plus offusquer beaucoup de gens. Et que dire des centres de ski du côté de la rive québécoise de la rivière Outaouais où le personnel s'exprime exclusivement en anglais! La ministre St-Pierre peut bien continuer avec ses paroles vides et partisanes; il faut du coeur et des convictions pour défendre une langue.