Lettres: Des idées différentes

Josée Boileau, dans son éditorial du 6 octobre dernier, me prête de fausses intentions et m'étiquette de façon tout à fait irresponsable.

Notre gouvernement, comme nous le faisons dans l'ensemble de nos démarches, tiendra parole auprès de l'électorat québécois et canadien en tenant un vote — tout à fait libre — à la Chambre des communes sur la question de revoir ou non la définition du mariage.

Je ne me prêterai pas au jeu de la spéculation [sic] sur les suites de ce vote comme le fait Mme Boileau. Je crois qu'elle ne rend pas service aux lecteurs du Devoir en exprimant sur papier ses opinions intolérantes envers ceux qui, en toute légitimité, ne partagent point ses idées.

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