Bienvenue au bureau du «Devoir» à Tokyo

Juché au 11e et dernier étage du petit hôtel, le bureau dispose d’une fenêtre avec vue sur le fleuve Sumida et l’autoroute urbaine 6. C’est là qu’on travaille, qu’on mange et qu’on dort.
Bienvenue au bureau du Devoir à Tokyo.
Comme les règles sanitaires des Jeux olympiques obligent les journalistes à respecter un confinement strict pendant au moins trois jours et que les chambres d’hôtel japonaises sont généralement petites, vous y trouverez essentiellement un lit et une petite table séparés par un étroit passage menant à une minuscule salle de bains et à la porte d’entrée.
Juché au 11e et dernier étage du petit hôtel, le bureau dispose d’une fenêtre avec vue sur le fleuve Sumida et l’autoroute urbaine 6. C’est là qu’on travaille, qu’on mange et qu’on dort.
Il est permis de faire un tour dans le couloir. Il est aussi exceptionnellement permis de sortir de l’hôtel pendant un maximum de 15 minutes pour passer au guichet automatique ou aller acheter quelque chose à la petite épicerie du coin. Un agent de sécurité est posté au rez-de-chaussée pour s’assurer du respect des règles.
Faites comme chez vous.
Ce reportage a été financé grâce au soutien du Fonds de journalisme international Transat-Le Devoir.
Ce texte fait partie de notre section Opinion qui favorise une pluralité des voix et des idées. Il s’agit d’une chronique et, à ce titre, elle reflète les valeurs et la position de son auteur et pas nécessairement celles du Devoir.