La Banque centrale européenne a décidé de réduire l’an prochain l’intensité de son imposant programme anticrise.
La dirigeante allemande se dit ouverte, mais évoque des lignes rouges.
Le taux de chômage est le plus faible depuis le début de la récession.
La situation témoigne d’une faiblesse des salaires.
L’institution est encouragée par un recul du populisme en Europe.
L’organisation évoque le risque d’inflation immobilière au Canada.
En Allemagne, le taux de chômage est descendu à un niveau inédit.