![Dans «Se dissoudre», explique Catherine Gaudet, « il y a cette espèce de question de se laisser porter par le temps qui passe, les forces, les énergies qui nous bougent de l’intérieur ou de l’extérieur, mais sans y mettre de volonté. On est parties de ça. Et après, moi, je mets ma patte un peu partout [rires]».](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_901026_717987/image.jpg)
Un solo pour laisser le temps prendre son temps
La chorégraphe poursuit avec un solo sa recherche entamée dans «L’affadissement du merveilleux».
La chorégraphe poursuit avec un solo sa recherche entamée dans «L’affadissement du merveilleux».
Là où la mémoire cherche le réconfort, l’histoire cherche à comprendre.
Au sommet de son art avec Le tricot, le prolifique auteur évoque l’importance de la transmission.
Chronique Le narcissisme de Donald Trump n’a eu d’égal que celui des médias qui lui ont donné la répartie.
Du temps. Pour respirer à grandes bouffées dans notre vie étourdissante.
Le présentisme s’est effondré pour laisser place au temps plus long du confinement.
La situation est totalement inusitée et les connaissances prennent du temps à se construire.
Chronique Petits rituels jaloux.
Chronique Ce n’est guère au nom de la mobilité qu’un gouvernement conçoit la nécessité d’un troisième lien à Québec.
La cinéaste convoque l’esprit de Tarkovski tout en demeurant résolument elle-même.