De l’Ukraine à Taïwan
Éditorial Souhaitons que les voix raisonnées de la diplomatie et du dialogue puissent se faire entendre.
Éditorial Souhaitons que les voix raisonnées de la diplomatie et du dialogue puissent se faire entendre.
C’est ce qu’a déclaré le gouvernement chinois appuyé par la Russie.
La Chine lui reproche le voyage «choquant» de la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, à Taiwan.
À Singapour, le premier ministre Lee Hsien Loong l’a appelée à oeuvrer pour des relations «stables» avec Pékin.
La défiance mutuelle entre la Chine et les États-Unis devient de plus en plus difficile à cacher.
Ces propos interviennent avant un possible appel téléphonique entre le président chinois et son homologue américain.
La capitale taiwanaise s’est faite ville déserte lors d’un exercice de défense et de protection civile.
Pékin a averti, la veille, être prêt à entrer en guerre si Taïwan déclarait son indépendance.
La Chine incarne le «risque le plus sérieux» pour l’actuel ordre international, selon le secrétaire d’État américain.
Chronique Taiwan sera-t-elle l’Ukraine des Chinois?