
La promotion du cannabis non médical sur le web inquiète l’INSPQ
Ces pratiques commerciales devraient préoccuper les acteurs de santé publique, selon l’institut.
Ces pratiques commerciales devraient préoccuper les acteurs de santé publique, selon l’institut.
Le débrayage touche maintenant 24 succursales dont les travailleurs sont membres du SCFP.
Le dernier rapport annuel indique que la société d’État peine à attirer davantage les consommateurs de cannabis.
Le ministre Girard avait déjà fait valoir l’importance des revenus que l’État tire de la société d’État.
Un enquêteur du ministère du Travail conclut que des agents de sécurité y ont effectué des tâches de syndiqués.
Commerces, musées, transports et services gouvernementaux modifient leurs horaires.
Ils réclament un salaire comparable à celui d’autres sociétés d’État, comme la SAQ, soit au moins 20$ l’heure.
Le débrayage touche les employés d’une vingtaine de succursales de la SQDC syndiquées par le SCFP, affilié à la FTQ.
Les règles obligent à vendre des produits moins «friandises» qui n’attirent pas les consommateurs sur le marché légal.
La Société québécoise du cannabis veut convaincre les consommateurs qui s’approvisionnent encore sur le marché noir.