
Les médicaments auraient fait de Bain une bombe à retardement
L'accusé n'aurait jamais été un homme violent avant septembre 2012.
L'accusé n'aurait jamais été un homme violent avant septembre 2012.
S’il avait vu Pauline Marois à l’intérieur du Métropolis, il l’aurait abattue.
Après L'avoir rencontré en 2012, une psychiatre soutient qu'il était psychotique.
Il a soutenu en cour qu’il croyait maîtriser la situation.
Après un lockout à l’usine, son attitude a complètement changé.
L’accusé aurait affirmé que son plan était de tuer le plus de séparatistes possible.
Bain entend plaider la non-responsabilité criminelle pour cause de trouble mental.
La guerre psychologique qu’a menée l’enquêteur Daniel Prieur lors du deuxième interrogatoire de Richard Bain, deux jours...
Il soutient qu’il ne se rappelle pas ce qui s’est passé le soir du 4 septembre 2012.
La Couronne a fait entendre jeudi, au procès de Richard Henry Bain, l’enregistrement d’une conversation téléphonique que...