
Le mal de tête des acheteurs «écolos»
Séparer le bon grain de l’ivraie est compliqué pour les consommateurs qui veulent réduire leur empreinte écologique.
Séparer le bon grain de l’ivraie est compliqué pour les consommateurs qui veulent réduire leur empreinte écologique.
La nouvelle politique bioalimentaire n'a pas les moyens de ses ambitions.
Plus des trois quarts des Canadiens se disent prêts à privilégier l'achat local de fruits et...
Les acteurs du bio au Québec qui se préparent pour le temps des fêtes ont une raison...
Inquiétudes du côté des arpents bios. Les principaux acteurs du biologique au Québec craignent que la nouvelle...
Idées Le Québec est la seule province canadienne qui a un régime de certification obligatoire pour les produits biologiques....
Depuis près de deux ans, l'organisme gouvernemental chargé d'assurer la bonne marche des opérations sur le marché des...
Du faux bio dans les paniers bios. Plus d'une ferme sur 10 qui participent cette année au réseau d'agriculture soutenue...
Pour ne plus être victime de la propreté, la personne au foyer peut recourir à des produits d'entretien qui s'affichent...
Fini, la confusion et les maux de tête au rayon des produits biologiques. Après trois ans de consultations, le...