Plus de la moitié de la population du pays se trouve actuellement au stade de «crise» de l’insécurité alimentaire.
Les gangs contrôlent environ 60% de Port-au-Prince et ont tué, dans les derniers mois, des centaines de personnes.
Les gangs violents créent un «cauchemar vivant» pour des milliers de personnes, avertit l’ONU.
Les violences des gangs rendent encore plus difficiles les conditions de vie déjà très précaires des habitants.
Éditorial Le rapt des missionnaires étrangers renvoie à la corruption des élites soutenues par les États-Unis.
«Aucun endroit n’est sûr: n’importe quoi peut arriver n’importe où.»
Dans le Port-au-Prince d’aujourd’hui, la réalité des gangs des cités dépasse largement la fiction.
Les policiers avaient déjà abandonné le commissariat du quartier et plusieurs milliers d’habitants ont dû fuir leurs...
«Nous sommes en dictature», a dénoncé un manifestant Félicien Joubert.
Les affrontements ont fait deux morts et une dizaine de blessés.