

Une annonce qui a «surpris» Washington, qui considère que «ce n’est pas viable».
La population polonaise se mobilise pour leur offrir solidarité et soutien.
«Le Devoir» s’est immiscé dans le train allant de Przemyśl à Szczecin, dans le nord-ouest de la Pologne.
Ce sera l’occasion de s’asseoir avec les alliés du Canada pour mieux coordonner la réponse à la Russie, dit-il.
Récits de départs précipités, d’espoirs ébranlés, de séparations déchirantes et d’élans de solidarité.
«C’est pour ma famille que je rejoins l’armée», lance Aleksander.
Des réfugiés originaires d’Asie et d’Afrique affirment attendre plus longtemps à la frontière polonaise.