La hausse du prix du pétrole est un phénomène mondial.
Chronique Remplacer près de 10% de l’offre mondiale en pétrole et produits raffinés est un casse-tête.
Le royaume saoudien est actuellement l’un des plus grands pollueurs au monde.
![L’OPEP + «confirme à nouveau […] l’ajustement à la hausse de la production globale mensuelle de 400 000 barils par jour pour le mois d’octobre».](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_988641_799191/image.jpg)
L’organisation est attentive au regain du nombre de contaminations à la COVID-19.
Le prix du baril s’est de nouveau montré volatil mardi, secoué par une demande incertaine.
Elle retombera en avril à son plus bas niveau depuis un quart de siècle.
La baisse de la production quotidienne serait de près de 10 millions de barils, selon des participants aux négociations.
L’OPEP a évoqué une entente préalable sur une diminution de l’offre mondiale.
Une réunion par visioconférence doit permettre de discuter d’une réduction massive de la production.
«L’Histoire les jugera» pour ne pas avoir stabilisé l’économie pendant la crise, alors qu’ils le pouvaient, croit l’AIE.