Les programmes universitaires recevraient environ 5000 demandes par an, mais ne pourraient en accepter que 800.
Elle faisait l’objet d’une enquête pour des entorses déontologiques commises lors de «Si on s’aimait».
Ce qui se passe avec l’examen professionnel de l’OIIQ n’est pas singulier et interpelle tous les ordres professionnels.
Malgré un fort taux d’échec au dernier examen, l’ordre mise sur du «soutien ciblé» pour les candidates.
La gestion interne de l’ordre professionnel exacerbe la colère des membres.
La pratique n’était pas officiellement reconnue ni encadrée. Une situation en voie de changer.
Ils font toujours face à des embûches pour se trouver un emploi à la hauteur de leurs compétences.
« Si on n’a pas de superviseurs pour les internes, on n’a pas de formation de la relève. »
Ni les infirmières ni aucune autre profession en santé ne sont l’appendice ou l’extension d’une autre profession.