
57 000 passagers aériens attendent que l’Office des transports s’occupe de leurs plaintes
Ce nouveau sommet de l’arriéré traduit le mécontentement qui persiste, trois ans et demi après le début de la pandémie.
Ce nouveau sommet de l’arriéré traduit le mécontentement qui persiste, trois ans et demi après le début de la pandémie.
Éditorial Submergé de plaintes, l’Office des transports du Canada a besoin d’une Charte des voyageurs avec plus de muscle.
Le gouvernement libéral a adopté le mois dernier une loi pour durcir les sanctions imposées aux lignes aériennes.
Le ministre Omar Alghabra a promis lundi une série de changements pour mieux protéger les droits des passagers aériens.
Cela remettrait en question l’indépendance de l’organisme de réglementation des transports du Canada.
Ottawa aurait pris plus de sept mois pour réagir après avoir pris connaissance des «failles» dans sa réglementation.
Ces nouvelles règles s’appliqueraient uniquement aux annulations futures.
L’Office a reçu 22 000 plaintes en moins d’un an.
La frustration suscitée par les annulations de vols attribuables à la pandémie persiste.
Le régulateur souligne le droit des clients d’exiger un remboursement basé sur le «tarif».