
Un «Déjeuner» jugé mal éclairé
Le théâtre Le Diamant a entamé hier le démantèlement d’une oeuvre parce que l’artiste la juge mal éclairée.
Le théâtre Le Diamant a entamé hier le démantèlement d’une oeuvre parce que l’artiste la juge mal éclairée.
Pour être grande, une oeuvre littéraire doit heurter.
Un chef-d’oeuvre né d’algorithmes et d’IA, est-ce souhaitable, admirable, voire appréciable?
L’exposition «Growth & Risk» faisait partie d’un large événement québécois à New York.
«Le Nez de Giacometti» et le «N°7» de Rothko pourraient se vendre 70 millions de dollars chacun.
Les frontières, physiques et symboliques, de l’atelier se font poreuses dans la pratique de plusieurs artistes.
Pour les couples d’artistes, l’espace commun offre la franchise d’un regard extérieur tout en favorisant le partage.
Pour de nombreux artistes, la pérennisation de l’atelier passe par le regroupement, la résistance et l’inventivité.
Patrick Bossé a créé un film immersif à partir du parcours et de l’oeuvre de l’artiste René Derouin.
«Divina Dali» présente les estampes du maître espagnol en hommage à la «Divine Comédie».