Les violences obstétricales, ces «cas isolés» si nombreux
Chronique
Si les médecins croient si fort à la rareté des VOG, ils ne devraient pas craindre une enquête.
Chronique
Si les médecins croient si fort à la rareté des VOG, ils ne devraient pas craindre une enquête.
Il demande aux communautés de soutenir ces femmes qui parlent, de ne pas les stigmatiser.
Il faut reconnaître les femmes qui subissent des violences obstétricales.
Plusieurs régions, comme l'Abitibi, souffrent d’une pénurie de personnel médical.
L’hôpital d’Abitibi-Ouest n’est pas à l’abri d’une nouvelle rupture de services.
Médecins et patients estiment que sa fermeture met en péril la santé des femmes.
Il est fermé depuis le 21 février en raison d’un manque d’infirmières en gynécologie.
Les patientes sont invitées à se diriger vers l’hôpital de LaSalle.
ll faut prendre en compte la manière dont les molécules interagissent avec le corps.