Gordon Osinski aidera à élaborer le programme scientifique de la mission qui se posera sur la Lune en 2025.
Ces derniers devraient atteindre le laboratoire orbital dans leur capsule SpaceX dimanche.
La sonde, lancée dans l’espace en 1977 et actuellement située à 19,9 milliards de km de la Terre, «opère normalement».
Ce programme basé sur une technologie de propulsion nucléaire thermique vise un premier vol test dans l’espace dès 2027.
L’objet de 30m de diamètre a échappé à la surveillance des agences spatiales internationales.
Le télescope spatial a capturé la naissance d’une cinquantaine d’étoiles similaires à notre Soleil.
Un épisode imminent du phénomène se combinera au réchauffement climatique galopant.
Des experts mandaté par la NASA doit formuler des recommandations sur la façon de les étudier de façon rigoureuse.
La fusée destinée à des voyages vers la Lune et Mars a été victime d’un problème technique lundi.
L’Ontarien fait partie de l’équipage d’Artemis II, première mission habitée vers la Lune depuis Apollo, en 1972.