Si j’étais épicier
Chronique L’inflation dans l’alimentation gonfle. Par un malencontreux hasard, les profits des épiceries aussi, et à vue d'œil.
Chronique L’inflation dans l’alimentation gonfle. Par un malencontreux hasard, les profits des épiceries aussi, et à vue d'œil.
Au cours du premier trimestre, terminé le 17 décembre, l’inflation du panier alimentaire a été de 10% chez l’épicier.
Les fournisseurs continuent de demander des augmentations de prix à un haut pourcentage.
Loblaw avait annoncé lundi qu’il gèlerait les prix de tous ses produits de marque Sans nom.
La pandémie alimente la consommation de repas à domicile.
La chaîne québécoise se prépare à mettre ses pharmacies à disposition de la campagne.
Les travailleurs à temps plein recevront une carte d’une valeur de 300 $.
Une portion des dépenses consacrées aux restaurants continue d’être transférée aux détaillants.
Le chiffre d’affaires des magasins a bondi de 10% au cours du plus récent trimestre par rapport à l’an dernier.
La hausse est de 125 millions au cours des deux premières semaines de mars.