
Médecin de famille, profession en péril
Réinvestissons la première ligne: c’est payant, ça sauve des vies et… ça ne devrait pas servir à gagner des élections.
Réinvestissons la première ligne: c’est payant, ça sauve des vies et… ça ne devrait pas servir à gagner des élections.
Ces bureaux visent à venir en aide aux quelque 990 000 Québécois en attente d’un médecin de famille.
Pendant l’étude du projet de loi 11, le ministre de la Santé dit vouloir élargir un système de triage.
Dans un mémoire, le syndicat de médecins juge «stérile» le texte législatif visant à améliorer l’accès aux soins.
Le manque de flexibilité et d’imagination constitue une partie du problème.
Orphelins d’omnipraticiens, nombre de patients sont laissés pour compte, contraints d’endurer leur douleur.
Que faut-il vraiment faire pour améliorer l’accès à la première ligne? Des experts offrent des pistes de solution.
Débordé de travail, un omnipraticien montréalais confiera ses quelque 750 patients inscrits au guichet d’accès.
Il est simpliste de penser que l’inscription des patients auprès d’un médecin de famille est l’unique solution.
Dans le modèle actuel, l’omnipraticien est obligatoirement le portier du système de santé.