
«La grande noirceur»: la splendeur de l’errance
Critique Maxime Giroux signe une oeuvre d’une beauté furieuse, fantastique, fiévreuse.
Critique Maxime Giroux signe une oeuvre d’une beauté furieuse, fantastique, fiévreuse.
Le comédien retrouve avec «La grande noirceur» le réalisateur de «Félix et Meira», Maxime Giroux.
«La grande noirceur» dans laquelle le cinéaste plonge les cinéphiles de Québec a l’heur d’éblouir.
Son premier «film américain» sera présenté au grand rendez-vous torontois.