![«Je lui ai proposé plus de temps pour réfléchir et [Michel Aoun] a dit “Nous ne pourrons pas nous mettre d’accord”. C’est pourquoi je me suis excusé de ne pas pouvoir former le gouvernement, que Dieu aide le pays», a déclaré Saad Hariri.](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_955542_768222/image.jpg)
Le premier ministre désigné du Liban, Saad Hariri, renonce à former un gouvernement
Un an après l’explosion à Beyrouth, le pays est confronté à la pire crise socio-économique de son histoire.
Un an après l’explosion à Beyrouth, le pays est confronté à la pire crise socio-économique de son histoire.
La hausse va se répercuter sur d’autres secteurs et alimenter l’inflation.
Depuis le début de la crise à l’automne 2019, la livre libanaise a perdu 90% de sa valeur face au billet vert.
La déflagration a été déclenchée par un incendie dans un entrepôt abritant des tonnes de nitrate d’ammonium.
Chronique Le Liban est un pays irréformable qui tourne en rond.
Son gouvernement sera appelé à engager des réformes longtemps ignorées par la classe dirigeante.
Avec trois hôpitaux de Beyrouth hors service, les autorités craignent que le secteur médical ne soit rapidement débordé.
Le premier ministre désigné, Moustapha Adib, s’est dit samedi incapable de former un gouvernement.
Il devait lancer les réformes destinées à sauver le pays d’une des pires crises économiques de son histoire.
Un entrepôt a pris feu jeudi dans la ville encore hantée par l’explosion du 4 août dernier.