

La tragédie permettra peut-être au pays d’opérer des changements en profondeur à sa classe dirigeante.
Le désespoir se lit dans les yeux des citadins.
Là où tout s’est arrêté, mais aussi là où tout a commencé.
«Le Devoir» a eu accès au site de l’explosion.
Des kilomètres et des kilomètres de celle que l’on surnomme la Paris de l’Orient sont à reconstruire.
Les camions d’aide alimentaire sont omniprésents dans les rues de Beyrouth.
Malgré la démission du gouvernement, la grogne populaire ne faiblit pas, une semaine après la double explosion.