
Les Kurdes syriens accueillent avec colère les patrouilles russo-turques
Des blindés ont été la cible de chaussures et de cailloux lors de leur passage.
Des blindés ont été la cible de chaussures et de cailloux lors de leur passage.
Il était clair que la Turquie n’accepterait jamais un État kurde indépendant.
Les deux pays veulent s’assurer du retrait total des forces kurdes.
Le chef du groupe armé État islamique s’est tué dimanche lors d’un raid américain.
L’armée russe continue de son côté les patrouilles qui ont débuté mercredi le long de la frontière turco-syrienne
Ankara dit compter sur Moscou pour mettre en oeuvre l’accord de Sotchi.
L’accord de trêve dans le nord-est négocié par Washington expire théoriquement dans deux jours.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan menace d’«écraser les têtes» des combattants kurdes.
Chronique De Kobane à Barcelone en passant par Québec.
«Ne jouez pas au dur! Ne faites pas l’idiot!» a écrit le président américain dans une missive au président turc Erdogan.