Comment quatre citoyennes de Kahnawake ont stoppé un chantier de 850 millions pour chercher des sépultures anonymes.
Le Conseil mohawk de Kahnawake interrompt ses relations avec Québec après l’adoption du projet de loi 96.
Des habitants autochtones réclamaient le retrait des restes du religieux qui aurait commis des agressions sexuelles.
«Nous rêvions d’un endroit où des gens de toutes les origines se sentiraient à l’aise».
Kahsennenhawe Sky-Deer servait déjà le Conseil mohawk depuis 12 ans.
L’ancien ministre responsable des Affaires autochtones entrera en fonction le 14 juin.
![«Chaque assignation que j’ai eue, chaque personne à qui j’ai parlé et chaque histoire que j’ai écrite font partie d’un gigantesque casse-tête qui m’a permis de comprendre les gens, leur culture, leurs croyances, l’importance de leur langue Kanien’kéha, mais aussi les stéréotypes, le racisme et l’oppression qu’ils vivent encore de nos jours [...]», exprime Marisela Amador.](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_875364_697396/image.jpg)
Marisela Amador raconte le parcours qui l’a menée à se joindre à l’équipe de «The Eastern Door».
La communauté mohawk s’inquiète particulièrement de la contamination en dehors des limites de son territoire.
Il a détenu le titre de Grand Chef pendant 12 mandats sans interruption, de 1980 jusqu’à sa retraite en 2004.
Les bars sont toujours fermés et les rassemblements de 250 personnes toujours interdits à Kahnawake.