Le républicain Ted Cruz l’a accusée frontalement d’avoir, au cours de sa carrière, «milité pour les prédateurs sexuels».
Le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, passe par la loi pour contrecarrer les visées de la Cour du Québec.
Le président doit, à la fin février, nommer une première femme noire pour remplacer le juge Breyer.
Le favoritisme de certains membres des jurys semble influencer assez peu le résultat final.
![Simon Jolin-Barrette a déposé une motion stipulant que «l’absence de maîtrise d’une autre langue que la langue officielle et commune [le français] ne devrait pas constituer d’office une barrière pour accéder à la fonction de juge au Québec».](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_1116885_903036/image.jpg)
Le ministre a reçu un appui unanime en amenant le débat qui l’oppose à la Cour du Québec au Salon bleu.
Éditorial Lucie Rondeau exige des dizaines de juges bilingues de plus.
Les échanges s’enflamment sur le bilinguisme des juges et l’agrandissement du Collège Dawson.
Le président n’a pas encore arrêté son choix, mais il devrait le dévoiler avant la fin de février.
Des juges les voient même comme une mesure d’accès à la justice, car ils réduisent la facture du citoyen.
Il semble avoir été exclu sans que ses problèmes de santé mentale aient été pris en considération, selon le juge.