
La cheffe des urgences de l’hôpital de Joliette est partie après la mort de Joyce Echaquan
En plus d’une infirmière, une préposée aux bénéficiaires a aussi été renvoyée.
En plus d’une infirmière, une préposée aux bénéficiaires a aussi été renvoyée.
La mise à l’écart de l’interprète atikamekw à Joliette prouve qu’il reste «beaucoup de travail à faire».
«Ils savaient que je travaillais à l’hôpital, pourquoi ils ne m’ont pas appelée?» s’interroge Barbara Flamand.
La plupart des interprètes autochtones travaillant dans des établissements de santé n'y sont pas 7 jours sur 7.
Ottawa leur octroie 2 millions de dollars pour lutter contre le racisme anti-autochtone.
Ses manifestations sont fréquentes, même s’il n’est pas systématique.
Il sera remplacé par Caroline Barbir, p.-d.g. du centre hospitalier universitaire Sainte-Justine.
Pour réduire les préjugés, il faut donner une plus grande place aux Autochtones dans le matériel pédagogique.
Le refus d’adopter le principe de Joyce est reçu comme un autre coup dur par les Attikameks.