L’institution devait choisir entre continuer de juguler l’inflation ou ménager les banques.
Son taux directeur est maintenant entre 3,75% et 4%, son plus haut niveau depuis janvier 2008.
Avec une inflation à 8,5% en juillet sur un an, la Réserve fédérale américaine prévoit d’encore hausser ses taux.
Il a toutefois tenu à se démarquer du ton de son prédécesseur Donald Trump.
Elle les augmente d’un demi-point de pourcentage, premier tour de vis de cette ampleur depuis mai 2000.
Relever les taux ne devrait pas avoir d’impact négatif sur le marché de l’emploi.
Certains sénateurs démocrates ont regretté le choix du président américain, lundi.
Le président de la Fed doit justifier des transactions effectuées en temps de crise.
Le pays montre des signes d’amélioration avec plusieurs indicateurs qui sont repassés dans le vert.
Les plans d’aides d’urgence sont certes «coûteux» mais incontournables, selon Jerome Powell.