
Une trentaine de personnalités dénoncent «le travail d’intimidation» de certains médias
«Il y a une marge entre se faire critiquer et se faire injurier sur la place publique», dit le député Joël Lightbound.
«Il y a une marge entre se faire critiquer et se faire injurier sur la place publique», dit le député Joël Lightbound.
Les cyber-incidents et la détresse psychologique chez les enfants ont été exacerbés par la pandémie.
C’est du jamais vu sur le campus, disent-ils.
Professeurs et étudiants sont actuellement livrés sans défense à l’arbitraire.
Le harcèlement touche une autrice sur trois, selon un sondage de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois.
À Montréal, un directeur artistique chargé du prochain opus de la série «Assassin’s Creed» s’est fait montrer la porte.
Ils affirment que depuis le départ de Nathalie Bondil, le climat de travail a radicalement changé.
Ils dénoncent ces gestes d’intimidation commis par une poignée d’automobilistes.
Les journalistes qui couvrent un événement le font pour informer le public.
L’éducation laïque et universelle sera son cheval de bataille tout au long de sa carrière.