Hunter Biden est accusé d’avoir fait une fausse déclaration au moment d’acheter une arme en 2018.
Les autorités lui avaient donné jusqu’à vendredi midi pour se présenter à la prison du tribunal du comté de Fulton.
Le seul examen des pièces constituant le dossier pourrait prendre plusieurs années, dit la défense de l’ex-président.
Le recours à une loi géorgienne réprimant la criminalité en bande organisée change radicalement la donne.
Le républicain a suggéré que ses rendez-vous judiciaires des prochains mois pourraient l’empêcher d’être sur le terrain.
L’ancien président américain est dépeint comme un homme qui «a placé sa propre ambition au-dessus de tout le reste».
Il s’agit de l’accusation la plus grave à peser contre l’ex-président américain, déjà doublement poursuivi au pénal.
Dans cet État du Sud, l’étau s’est resserré un peu plus mardi sur l’ancien président américain et son entourage.
L’ex-président s’est emporté contre ce qu’il a qualifié d’attaque judiciaire injuste à son encontre.
Celui qui a poignardé six personnes, dont quatre très jeunes enfants, a été inculpé de «tentative d’assassinat».