
Des garderies francophones ontariennes dépendantes de l’immigration
«Les gens qui vivent à Kanata ou près de chez nous ne veulent plus travailler dans les services de garde.»
«Les gens qui vivent à Kanata ou près de chez nous ne veulent plus travailler dans les services de garde.»
Idées Le gouvernement Ford, dont l’inconséquence est incompréhensible, dépasse la mesure.
Le projet mené entre autres par l’Université de l’Ontario français pourrait être lancé dès novembre prochain.
Chronique Les Québécois auraient intérêt à s’inspirer de la pugnacité des francophones hors Québec.
Une façon de souligner son rayonnement partout au pays.
Carl Bouchard, chargé de surveiller l’application de la Loi sur les services en français, remplace Kelly Burke.
Les conseils scolaires francophones se réjouissent de l’arrivée de demandeurs d’asile chez eux.
L’investissement d’Ottawa et de Toronto permettra la création de nouveaux programmes et l’embauche de professeurs.
Trudeau répondait à une question du porte-parole du Bloc québécois en matière de langues officielles, Mario Beaulieu.
En 2003, Ottawa s’était donné pour but d’accueillir 4,4% d’immigrants d’expression française hors de la Belle Province.