
Des films et des gens au FCIAT
La fête cinéphile de Rouyn-Noranda fait figure d’exception puisqu’elle se déroulera en présence du public.
La fête cinéphile de Rouyn-Noranda fait figure d’exception puisqu’elle se déroulera en présence du public.
«Habiter le mouvement» use des chorégraphies de Thierry Thieû Niang comme outil d’une réflexion impressionniste.
Le documentaire relate l’expérience d’un acteur venu parler liberté et fable avec des jeunes du primaire.
Pour ses débuts en tant que réalisatrice, la cinéaste raconte l’histoire d’une famille empoisonnée à la cocaïne.
Le poète, chanteur, réalisateur et militant se confie tandis qu’on crée une murale en hommage à son oeuvre.
À Rouyn-Noranda, le cinéaste a ébloui aspirants cinéastes et public avec sa vision du cinéma.
«Territoire Ishkueu / Territoire Femme» célèbre la parole de conteuses autochtones.
Le FCIAT entame son marathon cinéphile.
Olivier Ayache-Vidal propose une fiction tirée d’une démarche documentaire dans un lycée de la banlieue parisienne.
Une réflexion sur le rôle des femmes dans la société.